Juste pour le plaisir, une seule photo des nombreux achats. Le tout pour une vingtaine d'euros.
L'appareil noir à aiguille est un ohmmètre, et ce qui m'a séduit c'est la manivelle sur le côté.
mea-culpa.
C'est vrai. J'avais promis de ne pas me prendre pour un prof, et de ne même pas citer la loi d'Ohm dans ce blog.
Mais c'est pour faire comprendre pourquoi cet appareil m'intrigue.
C'est vrai. J'avais promis de ne pas me prendre pour un prof, et de ne même pas citer la loi d'Ohm dans ce blog.
Mais c'est pour faire comprendre pourquoi cet appareil m'intrigue.
Un ohmmètre nécessite une source de tension (souvent une pile, voir la réparation du MX202), pour faire circuler un courant dans la résistance à mesurer, d'après la loi d'Ohm.
U (en volts) = R (en ohms) * I (en ampères)
Le courant I (ou une fraction) circule également dans le galvanomètre, ce qui déplace l'aiguille en face la valeur correspondante en ohms.
Puisque tout est proportionnel, pour mesurer précisément une résistance, il faut une tension (U) connue et précise.
Tous ceux qui ont déjà pédalé sur un vélo avec dynamo savent que la lumière du phare (=la tension à l'ampoule) varie avec la vitesse.
Alors quel dispositif derrière cette manivelle permet d'obtenir une tension fixe ?
Aucune idée. On tentera de trouver la réponse plus tard.
Quant à la sonnette, elle correspond exactement au téléphone public de 1905 que j'ai restauré il y a quelques temps. Par chance celle-ci n'a pas été vernie, ce sera plus simple de l'accorder au téléphone.
Et la petite radio Schneider ? Elle est sympa et prend quand même moins de place qu'un nouvel oscilloscope.
Et la chignole à manivelle ? Là c'est Yukié qui a craqué sur ce bel outil, qui permet par ex. de percer parallèlement à un mur, là où la taille d'une perceuse oblige à percer en biais.
Classe ? Surement.
Indispensable ? Évidemment.
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